Notre histoire

Lorsqu'un besoin humanitaire rencontre une technologie révolutionnaire

En 2010, le co-fondateur d’iCivil, Adama Sawadogo fut sollicité pour construire une école dans son village d’origine. Il constata avec surprise que, lors de la première rentrée scolaire, la plupart des enfants ne possédaient pas d’acte de naissance, un besoin fondamental. Ce qui expliquait rétrospectivement l’absence d’école dans ce village! Il fut encore plus choqué d’apprendre que près de la moitié des enfants africains ne sont pas enregistrés à la naissance et n’ont donc pas d’existence légale.  

L’UNICEF estime à 230 millions, le nombre d’enfants « fantômes ».  Cette situation expose ces enfants à la marginalisation et à tous les dangers.  Cette lacune dans les faits d’état civil contribue à perpétuer la pauvreté dans les pays concernés, puisque des individus qui n’existent pas ne peuvent pas participer à l’économie de leur pays (encore moins voyager, voter ou se faire soigner).  

Profondément marqué par cette découverte, Adama partit en quête de trouver une solution à ce besoin.  Lors d’un salon professionnel, Adama découvrit la solution technologique du Code à Bulles de Prooftag.  Francis Bourrières, son fondateur, était venu présenter cette technologie pour authentifier les documents régaliens.  Adama lui rétorqua que « cela ne sert à rien de délivrer des documents authentiques si on les attribue à des personnes qui n’existent pas ».  

Profondément choqué, Francis et Adama engagèrent la première discussion sur la finalité d’un état civil.  Six mois plus tard, naissait dans le service R&D de Prooftag la solution dont rêvait Adama.  

 

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